Coup de griffes sur le dernier album de Dream Syndicate : The universe inside
Potron-minet. Je descends quelques marches pour franchir le palier d’un bar de nuit où se réfugient les noctambules rétifs à l’aube naissante. L’ambiance sonore est à la fois feutrée et funky. C’est une musique pop-synthétique avec des arrangements de cordes, une basse ronde et des chœurs féminins faussement ingénues.
Pour un album unique (dans tous les sens du terme) autant écrire une bio spéciale, commençons donc par la fin et remontons le cours de l’histoire.